On nous avait mis la puce à l’oreille mais un fâcheux imprévu avait retardé nos retrouvailles. Cette fois-ci nous avons pris les devants en assistant à l’avant-première (et bien oui, on est comme ça, nous) !? Mettre en scène Feydeau est une tâche au moins aussi simple que complexe. Monter Feydeau n’est d’ailleurs pas nécessaire pour l’apprécier. Et encore moins pour en rire à gorge déployée. Le texte lui-même se suffit. A sa lecture, le génie Georgien dans toute sa splendeur, dans toute sa puissance, a tôt fait de nous emporter dans un monde tellement lointain - et en même temps si proche - et pourtant si (...)