Le film faisait un détour par le second degré voire le surréalisme.
Ces aspects sont malheureusement absents ici, la forme classique ayant été retenue par le metteur en scène.
Les habitués des Galeries ne seront donc pas déroutés.
Fort heureusement, le rythme est relativement soutenu évitant l’assoupissement surtout dans la deuxième partie.
Et la pièce écrite en 1958 tient la route et la distance, cachant sous des dehors un peu boulevardiers un propos cynique et en fin de compte tragique.
Dommage que la distribution soit inégale. Valérie Lemaitre est excellente. Les autres sont peut-être (...)