Claude Semal : le nom me disait vaguement quelque chose, et j’ai été par curiosité. Au début, j’ai pas marché. J’aime généralement pas les vieux qui veulent paraître jeunes : faire comme à 25 ans : l’amour, la révolution, bleuffer en jouant un rôle - en l’occurrence, le rôle du "Belge" avec tous ses clichés, Magritte, les frites, etc.
Et puis, j’ai été pris au jeu du père et de l’enfant. J’ai trouvé cela comique et juste. Je suis finalement entré dans le spectacle. Mais il m’aura fallu du temps, peut-être le temps que Claude Semal se décrispe, et apparaisse enfin naturel. Le détour finalement vaut la peine : (...)