Plus que celui d’un cabaret glauque des années 1925, le décor est celui d’un cirque. Cela a le mérite de faire vouloir revoir le film, pour son atmosphère, si différente et si troublante. Par contre, la très belle musique égrenée par une délicieuse pianiste (Sophie DEWULF) est un répertoire décalé, tour à tour, charmant, mélancolique, poétique de Pascal Charpentier. C’est le beau côté de cette comédie musicale. On retient son souffle devant les jeux d’équilibriste des deux jeunes artistes de cabaret. Mais celui que l’on préfère est à coup sûr l’ineffable Alexandre von Sivers qui a l’air tout perdu dans ce monde (...)