L’aveu principal est que le petit dernier, Jeannot le cinquième, a été idolâtré par sa mère comme un enfant unique. Paradoxe : alors qu’elle lui a tout donné - y compris la part pour son mari- c’est lui qui lance l’offensive du manque d’amour. Elle a laissé les autres aller qui à son piano dévorant, qui à ses livres, qui à sa sagesse improvisée, qui à ses errances. Objets transitionnels. Ensuite Madame Vandale a fui, sans laisser d’adresse. Partie, pour une autre vie. Il y a le délicieux oncle Jos, qui tente de calmer le jeu avec finesse quand la discussion tourne à l’empoignade, quand les mots (...)