Il me faut l’avouer, parmi les nombreuses lacunes de ma culture, la littérature russe pourrait aisément être comparé à un profond abîme, un trou béant, voire abyssal, dans lequel se débattraient vainement de grands auteurs tels que Dostoïevski, Tolstoï ou encore… Tchekhov. Hier soir, pourtant, un heureux « hasard » me permit de repêcher ce pauvre Anton et de le sauver de la l’oublieuse et inculte noyade qui le guettait. Autrement dit, nous l’avons tous les deux échappé belle (probablement plus moi que lui, c’est vrai vu son statut actuel de poussière d’étoile). Comment ? Certains martyrs amoureux des (...)