Je ne vois vraiment pas en quoi la pièce de l’écrivain français Pierre Chesnot a pour cible ’le bon belge’ D’ailleurs c’est peut-être même une espèce en voie de disparition... L’accent était très français sauf pour un personnage mineur et dérisoire.
Et, non, tous les bons belges, souvent citoyens du monde, n’ont pas une maîtresse. Quant à leur payer un appart tous les 10 ans c’est aux antipodes du concept belgo belge de la brique dans le ventre. Surveillance de Madame, oblige. Et non, cette pièce ne fait pas l’apologie d’une polygamie consentante.
S’il y a une morale dans l’histoire c’est qu’il vaut mieux (...)