Un conte noir mais lumineux. Une histoire fantastique et une pièce fantastique. S’agite une lanterne et soudain se matérialise un concert de lumières, de clairs-obscurs, d’ombres portées, rampantes, menaçantes, jonglant avec les éclats de lumières, de miroirs changeants, de portes mobiles vers le monde d’Andersen. Des reflets et du damier noir et blanc partout : au sol, sur la jupe, les bas de la servante, un abat jour, et dans les cœurs. Un jeu mortel s’engage. Les cases noires sont plus nombreuses : les personnages fantastiques sortent de toutes parts, passent les murailles, changent d’identité (...)