Lorsque son mari la délaisse pour une jeune et jolie étudiante, Bérénice croit ressentir ce qu’on subi les mammouths à l’heure de l’extinction. Elle s’effondre, elle se sent gommée de la carte du monde.
Programmant sa vengeance, elle abandonne la piste de l’albanais pour d’autres idées parfois bien saugrenues.
Un monologue qui suscite émotion face au désarroi de cette femme, cette mère dont je me suis sentie si proche.
On frissonne de son désir de représailles.
Enfin, on rit des ses mille inventions farfelues pour se faire justice.
C’est un cri, une danse, un caillou qui fait des ronds dans l’eau et dont (...)