Roméo et Juliette

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• # Roméo et Juliette

  Le 21 octobre 2010 à 10:22 par sydney

  Ca fait mal, très mal de voir comment ce Roméo et Juliette a été monté...à part quelques comédiens - dont Roméo heureusement - qui tirent leur épingle du jeu dans cette scénographie et cet éclairage ringards c’est probablement le pire spectacle que j’ai vu depuis longtemps. Cela me désole, vraiment.

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• # Roméo et Juliette

  Le 24 octobre 2010 à 02:30 par mede

  Ca me fait plutôt du bien de voir ce grand classique rabâché dans une version épurée et rythmée qui nous en donne un regard neuf.
  Un très agréable moment de théâtre où l’on ne s’ennuie pas.

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• # Roméo et Juliette

  Le 25 octobre 2010 à 01:57 par deashelle

  Cette mise en scène de Georges Lini très dépouillée, qui simule le retour aux sources antiques de la tragédie grecque, tout en évoquant des traces de costumes élisabéthains est une approche heureuse. Ce qui ne l’empêche pas de jouer avec la lumière du jour. Au propre et au figuré. Le fond de la scène est occupé par un ciel immense et changeant au rythme des passions humaines et de la violence des émotions. Ciel violet intense de deuil absolu, dans le prologue lorsque le chef de chœur vêtu de brocarts mauves annonce d’une voix sinistre l’issue fatale du drame qui va être décrit. Comme dans la tragédie antique, le Destin reste responsable des événements mais c’et surtout la haine obstinée entre deux maisons (households), deux clans, deux frères ennemis qui en est la cause : c’est la tragédie du monde qui se joue ici. Le pouvoir est une rage qui ne corrompt pas seulement, il tue. L’histoire commence par une presque bataille, « … S’ils nous mettent en colère, nous allongeons nos couteaux », puis la bataille devient omniprésente et tragique, et les clameurs de buveurs et menu peuple pour les changements habiles de décor de ponctuer les scènes où la parole s’envole.
  Le décor, est immuable, quatre immenses colonnes de style antique, et quelques marches pour souligner la fragilité des humains et définir deux espaces de jeu. Celui des amants maudits, éternels et lyriques, et celui du monde aveuglé par ses haines qui va et vient, des bals à la tombe.La scène finale du tombeau est d’un graphisme extraordinaire. Elle devrait être repeinte par un grand maître tant elle et aboutie, dans ses lignes, sa chorégraphie, ses ombres, sa dynamique et son désespoir qui touche tout le monde sans exception.

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• # Roméo et Juliette

  Le 26 octobre 2010 à 09:53 par papychat

  Voici une très belle pièce dans sa mise en scène. J’ai moins aimé les accompagnements musicaux, surtout la musique choisie pour le bal ! Ce plongeon dans notre univers moderne et sans émotion est un affront au texte. L’évolution et la gestuelle des autres personnages pendant l’illumination de la rencontre, est par contre bien trouvée. Mais tout au long, sauf dans la scène du tombeau où elle joue très vrai, Juliette et un peu agaçante, difficile de dire pourquoi… pas assez juvénile ?

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• # Roméo et Juliette

  Le 27 octobre 2010 à 02:55 par Sisi B.

  Je vais la voir tout à l’heure, en espérant qu’elle sera chouette ! ^^

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• # Roméo et Juliette

  Le 3 novembre 2010 à 12:43 par Corentin

  Une belle mise en scène de ce classique. George Lini a su le
  réinventer, malgré ses contraintes dues au texte. La plupart des comédiens
  sont bons et les décors sont magnifiques, comme toujours au Théâtre des
  Galeries. On peut toutefois remarquer la belle performance de Roméo (Damien
  De Dobbeleer) ainsi que la drôlissime Nourrice (Martine Willequet) et le
  surprenant Seigneur Capulet (Yves Claessens).
  J’ai aussi pu remarquer à quel point Shakespeare est drôle !
  A plusieurs moment de la pièce j’ai pouffé de rire dans des moments tragiques car le texte m’a fait rire.
  Je ne suis pas ressorti de ce spectacle bouleversé mais j’ai
  vu du beau théâtre, pour une fois au Galeries !

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• # Roméo et Juliette

  Le 5 novembre 2010 à 11:50 par aure

  Un avis mitigé...De jeues acteurs assez " outrés " dans leur jeu, on n’adhère pas complètement, en revanche mise en scène vive et spontanée, inventive, d’un naturel agréable, jolis décors et costumes, un moment plaisant mais sans plus, il manque l’émotion..

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• # Roméo et Juliette

  Le 8 novembre 2010 à 01:10 par cdevaux

  Je n’ai pas aimé du tout, je me suis embêtée comme jamais et n’avais qu’une hâte : que cela se termine. D’ailleurs, beaucoup de gens baillaient autour de moi. La Juliette sourit béatement à tout pendant toute la pièce, le Roméo n’est pas très convaincant, et alors le reste de la pièce où ils semblent tous parler, parler, parler et encore parler pour ne rien dire fait qu’on s’ennuie. Vraiment déçue de cette pièce.

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• # Roméo et Juliette

  Le 8 novembre 2010 à 10:43 par JosiCau

  J’ai beaucoup aimé. C’est particulier et très différent de ce qu’on a vu jusqu’à présent. Le metteur en scène allie d’une façon très heureuse la tragédie, le théâtre élisabéthain et le jeu moderne des comédiens. La définition de deux espaces de scène est le symbole du monde moderne : des drames se jouent sans empêcher le monde de tourner. L’espace surélevé entre les colonnes abrite le drame des amants maudits tandis qu’au dehors, en bas des escaliers, le quotidien joue son va-et-vient incessant. 
  Roméo est extraordinaire de justesse et de sensibilité. Juliette par contre n’est pas très "vraie", son jeu manque un peu de fraîcheur juvénile.

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• # Roméo et Juliette

  Le 12 novembre 2010 à 11:56 par cohend

  La critique est aisée mais l’art est difficile !
  Ces comédiens devraient en toute hâte reprendre quelques cours d’art dramatique.... Ce n’était pas très crédible, la mise en scène était digne du Guignol des Infos, la musique cadrait avec les halls de gare et magnifiques dialogues Shakespaeriens, ils disparaissaient sous l’accent brusselleer..... c’était NUL.

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• # Roméo et Juliette

  Le 13 novembre 2010 à 02:24 par mikavill

  J’avoue, je n’aime pas trop donner mon avis publiquement, surtout quand j’ai pas aimé (du tout), mais cette fois, je réagis car je n’ai pas compris le délire du tout du théâtre des Galeries.A mi-chemin entre la caricature et la fête scolaire,j’ai eu le sentiment de perdre ma soirée (et 25 euros), du début à la fin. Dites-moi si je me trompe, mais postilloner à chaque phrase ne suffit pas à mes yeux à représenter la violence ou la force des sentiments en jeu ; parler juste,c’est le B.A.ba ; trois projections et de la techno lounge en fond sonore ne suffisent pas devenir le nouveau temple du théâtre contemporain ; les scènes d’escrime, bien exécutées, semblent encore et toujours plaquées pour faire "joli".Ca m’a rappelé, en plus vieillot, la première pièce que j’ai vu, il y a vingt ans ! J’ai eu de la peine pour les acteurs qui incarnent les héros de l’histoire, qui se débattent comme ils peuvent pour garder la tête hors de l’eau, maladroitement mais courageusement.Et le plus triste,ce sont les réactions des groupes scolaires, qui semblaient aimer le théâtre un peu moins à la fin.Des portes qui claquent et des histoires de femmes trompées, aux Galeries, je suis fan.L’audace, le renouveau, l’excès, j’adore. Les deux dans le même panier, selon moi,ça ne prend pas.Ca ressemblait davantage à un mariage de raison qu’à un mariage d’amour...Roméo & Juliette ne parle que de ça !

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