Sur le site de l’éditeur, figure le texte de présentation de la quatrième de couverture qui nous dit l’essentiel de ce roman d’initiation, d’amour, d’élucidation qui entraîne son lecteur dans les villes fleuves que sont Le Caire et Montréal.
Dans l’interview qu’il nous a accordé, on entend toute la passion pour l’écriture qui anime celui qui se présente comme un "créatif et homme d’affaires passionné,(...) alchimiste du quotidien. (...). Après des "latin-grec" et un diplôme de chercheur graphique, il rejoint le monde du travail "à sa façon". Peintre maquilleur, guitariste autodidacte, marionettiste, il passe de festivals en concerts et de concerts en voyages. De ces expériences, il retient l’idée d’être son propre maître et d’inventer à son gré les jobs qui le font vivre..."
Pour en connaître davantage sur Patrick Parmentier, allez sur le blog qu’il alimente régulièrement de ses chroniques et humeurs.
Pierre a connu au Caire une idylle fascinante. Trois mois inoubliables passés à découvrir l’amour avec Liliane. Provocatrice, magicienne, inventive pour deux, Liliane lui a ouvert les portes du plaisir de vivre. De retour en Europe, Pierre se morfond, languit, dépérit. Comment gérer le hors-norme quand on se sent banal ? Comment faire face à l’impuissance provoquée par l’absence de l’autre ? La distance et la fin de l’adolescence auraient dû reléguer cet amour au rang des souvenirs. Prié de tourner la page, Pierre tente de se reconstruire.
Quand, des années plus tard, ses parents lui proposent une descente du Nil, Pierre n’hésite pas. Il déambule dans les rues bouillonnantes du Caire. S’évertue à remonter la piste de Liliane. Apprend que la jeune fille a disparu de façon étrange. Pour resurgir de nulle part, un mois plus tard, frappée de mutisme. Alors que les journaux de l’époque essayent d’élucider l’aspect mystérieux et inexpliqué de cette disparition, l’opinion se partage entre mépris et compassion. Pierre imagine le pire.…