Le jeu de la vérité

Théâtre | Théâtre Royal des Galeries

Dates
Du 13 février au 9 mars 2008
Horaires
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+32 2 512 04 07

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Le jeu de la vérité

Le jeu de la vérité de Philippe Lellouche.
Fabrice, chef de cabinet ministériel, marié et père de famille ; Pascal, en instance de divorce ; et Jules, comédien et célibataire ; tous trois à l’aube de la quarantaine, se réunissent chaque semaine pour manger ensemble. Soudés et complices depuis le lycée, chacun était tombé sous le charme de Margaux, la bombe de l’école. A l’un de leur repas, Jules annonce l’arrivée imminente de Margaux. L’effet de surprise passé, les pronostics vont bon train : ce soir que le meilleur gagne…
Cette pièce fine et piquante sort des sentiers battus et nous envoie une bouffée de jeunesse. Entre souvenirs et confidences, jeux de mots et petites vannes bien senties mais toujours tendres, ce spectacle s’égrène à un rythme soutenu.
Avec Pierre Pigeolet, Nicolas Buysse, Cloé Xhauflaire et Luc Gilson. Mise en scène : David Michels
Du mardi au samedi à 20h15, les dimanches à 15h. Location : 02/512 04 07

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6 Messages

  • Le jeu de la vérité

    Le 14 février 2008 à 11:35 par Anne

    Cette pièce est à recommander à toute personne qui souhaite passer moment de détente réelle, de rire.
    L’auteur ainsi que les artistes nous plongent dans la réalité de la vie et ce avec finesse et ce brin d’humour devenu trop rare.

    N’hésitez pas ! allez assister à cette très agréable pièce, encouragez les artistes à perséverer dans cette voix, de telle manière que nous puissions passer encore de nombreux moments de rire. Avec pareilles pièces pas besoin d’aller à une école du rire !!!

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  • Le jeu de la vérité

    Le 17 février 2008 à 07:37 par sheherazade

    Ah sortir du théâtre le cœur en fête ... quel bonheur !

    merci à Nicolas Buysse, Luc Gilson, Pierre Pigeolet et Cloé Xhauflaire de nous avoir fait partager ces moments d’humour et de tendresse.

    Dans un décor joliment simple, tonique et coloré de Francesco Deleo, les quatre comédiens du théâtre des Galeries jonglent avec les bons mots, l’humour un peu vache plein de complicité.
    Il n’y a pas un temps mort dans la pièce, on passe du rire à l’émotion mais une émotion sans mièvrerie aucune. Le texte frappe toujours juste, énonçant une infinité de choses vraies, bien de notre temps.

    Je me suis senti pousser des ailes de bonne humeur dans le dos, en plein milieu de l’après-midi, où un beau soleil hivernal m’attendait encore à l’extérieur des galeries Saint-Hubert.

    Voilà une pièce de théâtre dont je n’avais absolument pas entendu parler, dont je ne savais rien et que je suis allée voir un peu par désoeuvrement d’un dimanche solitaire. Quelle bonne idée j’ai eu là.



    Qu’ est-il de plus beau et de plus sympathique en effet, que de lire, entendre, regarder quelque chose qui parle d’amitié (la vraie) et d’amour (le vrai).

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  • Le jeu de la vérité

    Le 20 février 2008 à 12:06 par Victor

    Sheherazade et Anne ont raison ! On perçoit bien le plaisir des comédiens sur le plateau … un plaisir très communicatif car le public rit de bon coeur. Un public tout acquis aux "Galeries" et à ce genre de pièce... Mais ne vous y trompez pas, sous le couvert du rire, l’auteur Philippe Lellouche en profite pour nous balancer quelques vérités sur une certaine intolérance – et pour vous en garder la surprise, je ne vous en dirai pas plus ! 
    C’est vrai qu’ils sont tous les 4 bien dans leur rôle. J’ajouterai simplement une mention spéciale pour Nicolas Buysse, tout bonnement craquant !

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  • Le jeu de la vérité

    Le 24 février 2008 à 02:37 par indoboy

    Il faut bien l’avouer : c’est avec des pieds de plomb que je me mis en route vers le théâtre des Galeries, ce samedi soir : à part la joie de retrouver mon co-abonné (ce genre de détails, j’en suis sûr, vous passionnent), la perspective de passer une heure et demi de lourdeur humoristique à applaudir, forcé, les cabotineries grotesques du tout nouveau représentant du vedettariat à la parisienne (j’ai nommé Luc Gilson, puisque, comme chacun sait, ce brave homme n’est autre qu’un des présentateurs de la célèbre chaîne de télévision privée belge...) ; cette perspective (être forcé, donc, de rigoler aux cavalcades d’un nigaud ne sachant jouer -mais forcément, ma bonne dame, un "grand" nom sur une affiche, ça attire plus qu’un "Nicolas Buysse" ou qu’un "Pierre Pigeolet"...) fit que je me rendis, fort sceptique, au théâtre.

    Et pourtant... la réalité me détrompa !

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  • Le jeu de la vérité

    Le 24 février 2008 à 02:38 par indoboy

    Sous la couche crasse de comédie de boulevard, un soupçon de profondeur devait se révéler. (Quelques tabous sont brisés... Quant à savoir s’ils collent à la réalité des gens concernés, je n’en peux dire plus, mais ça avait l’air juste ; et en tout cas, c’était émouvant !)

    Luc Gilson se débrouille admirablement bien, pour ses premiers pas sur une scène professionnelle (et honnêtement, il ne dénote pas par rapport aux autres). Il faut d’ailleurs noter son "moment de bravoure" où il parvient à rendre crédible une crise de larmes et de gêne...

    L’interprétation est juste (quoiqu’un peu exagérée peut-être : les mains de Cloé Xhauflaire semblent trop entortillées de gêne pour être honnêtes...) et belle ; l’émotion et le rire sont bien dosés (l’auteur nous fait toujours retomber sur les pattes du rire après un moment poignant... Peut-être un peu trop ? Ca semblerait presque artificiel tant c’est régulier...).

    Décor très joli, à la pointe du design (comme toujours aux Galeries).

    La fin est légèrement tirée par les cheveux...

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  • Le jeu de la vérité

    Le 24 février 2008 à 02:40 par indoboy

    Mise en scène un peu lassante : je m’assieds-je fais tourner mon fauteuil-je me lève-je traverse la scène-je me rassieds ... C’est à la limite de l’énervant, pendant une heure trente !

    Une bonne pièce, un bon moment de détente, mais sans plus : on sent le théâtre gentiment bourgeois, policé, sans excès. Un peu plus d’engagement de la part de l’auteur n’aurait pas fait de mal ! Et encore... On entendait le public frémir... lorsque le mot "branler" fut prononcé ! La faute de l’auteur ou la faute du public ?

    (Désolé d’avoir mis ça en 3 messages : problème de manipulation)

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