"LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

Théâtre | Théâtre la Balsamine

Dates
Du 8 au 12 décembre 2009
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"LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

Uneforêt. Au premier plan, trois personnages perdus et, en toile de fond, laquestion de l’identité. Chacun d’eux va, littéralement, se confronter à sesobsessions, à ses fantasmes et à ses angoisses profondes. Ils tentent d’y créerun ordre afin d’organiser leur propre chaos intérieur. À travers cetteintrospection, sous forme de quête, c’est mon rapport au réel que jequestionne. Car, si mes personnages se confrontent à leurs rêves,ceux-ci se révèlent être le reflet des maux qui stigmatisent notre société. Parle biais de cette traversée existentielle, La Forêt traite de la difficulté qu’a l’hommed’aujourd’hui à trouver un accord entre lui-même et ce monde qu’on pose commeréel. « Un genre de no future feng chui quoi ».Ecriture et mise en scène : Stéphane ArcasAvec : Cécile Chèvre, Ugo Dehaes, GuylèneOlivares, Marie TcharcachianLive music : Fabrice CésarioScénographie et lumière : Raphaël Rubbens
(© Stéphane Arcas)

LA FORÊT- vert presque vert
Spectacle à 21h

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8 Messages

  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 9 décembre 2009 à 11:14 par HB21

    Très difficile de donner mon avis sur cette pièce puique je n’y est pas compris grand chose. Pas de décors, texte obscur, énigmatique, bcp d’effets sonores, acteurs prisonniers d’une mise en scène rigide qui ne laisse pas beaucoup de place au vivant. J’ai l’impression que l’auteur qui livre ses obsessions, ses fantasmes, ses angoisses ne se soucie à aucun moment du spectateur, otage de cette pièce qui se veut intello et sans doute pleine de sens mais où après avoir essayé (je le jure) de comprendre ou même ne serait-ce que de ressentir quelque chose je me suis franchement ennuyé. C’est dommage pour les acteurs qui font de leur mieux mais qui à vrai dire brassent de l’air...

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 10 décembre 2009 à 11:33 par loulou

    Comme HB21 et bien d’autres ce soir je n’ai rien compris à ce spectacle.Certes Bettelheim n’était pas loin mais tout ça pour ça !!
    Dans ce cas une heure quart semble bien long ;heureusement qu’il y avait un fonds sonore parfois assourdissant pour nous empecher de sombrer dans le sommeil !

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 10 décembre 2009 à 11:43 par Emmanuelle

    Pour l’instant, ma déception de la saison !

    Je suis pourtant ouverte aux - voire friande de - pièces obscures, métaphoriques, fragmentées, etc. bref qui demandent au spectateur de faire un bout du chemin et qui le laissent avec l’impression qu’il lui reste encore des choses à décrypter...
    Mais là, ni obscurité ni métaphore - malgré ce que la mise en scène essaie de faire passer - juste un texte assez quelconque dont la mise en scène ne fait que répéter le propos peu subtil, comme pour brasser un peu plus d’air.

    Comme on dit souvent dans ces cas-là : la plus grande qualité de cette pièce était sans doute sa courte durée !

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 11 décembre 2009 à 02:43 par Lucas

    Le genre de pièce où on ne comprend pas tout, et où le déclic sur certaines choses viennent par après. Sauf que dans ce cas, ce n’est pas du tout ce qui arrive. Le texte n’est pas assez fourni et la mise en scène trop caricaturale. On voit clairement le message derrière le texte tout au long de la pièce, et même si ce n’était pas votre cas, on vous l’explique à la fin. On n’a pas grand chose à emporter chez soi...

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 11 décembre 2009 à 10:41 par Csame

    Je partage globalement l’avis d’Emmanuelle sur cette pièce.

    S’agit-il d’une de ces pièces où il faut s’abandonner à l’auteur ? Cesser de chercher absolument un sens ? Mais on s’ennuie. Peut-être est-ce l’intention de l’auteur. Nous ennuyer. C’est une question de priorité : met-on celle-ci sur le spectateur, qui doit absolument quitter une pièce avec l’impression définitive d’en avoir eu pour son argent ? Ou sur l’auteur, qui — même aux dépens du spectateur — doit donner à tout prix la première place à sa créativité et à sa spontanéité ?

    Finalement, tout prend son sens. C’est la deuxième possibilité. Le spectateur s’ennuie, mais l’auteur, on se l’imagine soit riant de la stupidité de ses snobs spectateurs, soit libéré de ses angoisses et autres fantasmes.

    En ce qui concerne le jeu des acteurs, on ne peut pas dire qu’il fut excellent. Pas mal de surjeu. Abus des silences lourds de sens (ou en l’occurence, d’absence de sens), abus des effets sonores, abus d’effets d’éclairage... Bref, abus de tout, manque du reste. L’éclairage est une façon trop aisée de créer une émotion ou une impression.

    Je suis tout de même content de ma soireé car j’avais une voisine d’une exquise beauté, d’une grâce considérable, et d’un charme ravageur.

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 14 décembre 2009 à 04:14 par ces chevres

    j’ai vu le spectacle de S.Arcas qui est quelqu’un de fort sympathique au demeurant contrairement à ce qu’on pourrait croire. Je me suis bien ennuyé et étais impatient de sortir de son piège. Il me semble en effet qu’il n’est pas difficile de comprendre l’ensemble d’évidences mises bout à bout avec parfois des idées rafraichissantes, trop rares. Mais ça m’a donné l’idée de faire moi aussi une pièce de théâtre sans rien y connaitre.

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  • "LA FORÊT vert presque vert" de Stéphane Arcas

    Le 4 mars 2012 à 11:04 par mario

    Pour ma part je suis plutôt fan du travail d’Arcas et je tombe très tard sur ces avis. J’ai trouvé les comédiens juste et le texte singulier et innovant. J’ai donc gardé un très beau souvenir de ce spectacle et je regrette qu’il ne soit pas repris !

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