Jeudi 31 mars 2011, par Edmond Morrel

Ecoutez Sylvie Granotier au micro d’Edmond Morrel évoquer son dernier roman : "La rigole du diable"

Catherine, une jeune avocate parisienne, doit assurer dans la Creuse la défense d’une femme soupçonnée d’avoir empoisonné son époux, un riche et vieux paysan. Tout accuse sa cliente. Mais de manière inattendue, c’est à son propre passé que Catherine se retrouve confrontée, à travers un crime jamais élucidé : celui de sa propre mère dont elle a été, enfant, le témoin innocent. La "Rigole du diable" n’a pas livré tous ses secrets…

"La rigole du diable" de Sylvie Granotier aux Editions Albin Michel

De la difficulté d’interviewer une auteur de thriller à propos d’un livre à suspense au risque de dévoiler l’intrigue...c’est un peu cela que démontre cette rencontre avec Sylvie Granotier...
Alors pour vous donner l’envie d’écouter, voici la quatrième de couverture et les premières lignes du roman...

Edmond Morrel

PS : une version audio de ce thriller, lu par l’auteure, a été réalisée par les Editions Thélème.

La quatrième de couverture :

Catherine, une jeune avocate parisienne, doit assurer dans la Creuse la défense d’une femme soupçonnée d’avoir empoisonné son époux, un riche et vieux paysan. Tout accuse sa cliente. Mais de manière inattendue, c’est à son propre passé que Catherine se retrouve confrontée, à travers un crime jamais élucidé : celui de sa propre mère dont elle a été, enfant, le témoin innocent. La "Rigole du diable" n’a pas livré tous ses secrets…

Les premières lignes :

"En ce début d’après-midi, par ailleurs semblable à tous les autres, sa mère l’emmène en promenade dans sa poussette, la berce de sa voix rieuse de maman invisible, lui raconte le vent qui chante et s’enroue dans les branche, les hirondelles qui rivalisent de virtuosité pour frôler l’étang où elles se rafraîchissent de quelques gouttes d’eau avant de repartir en arrondi parfait dans les nuages.
La petite fille ne comprend pas tous les mots mais suit des yeux le doigt de sa mère imitant les oiseaux en vol plané jusqu’à hauteur de son visage.
Ensuite, elles rentreront à la maison où le biberon tiédi précédera la sieste (…)"

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