Mardi 17 mai 2011, par Edmond Morrel

Ecoutez Grégoire Delacourt au micro d’Edmond Morrel

"L’écrivain de la famille" : un écrivain est né et nous donne son premier roman, magistral dans l’ émotion et dans l’élégance du sourire face à la gravité.

"L’écrivain de la famille" : un écrivain est né et nous donne son premier roman, magistral dans l’ émotion et dans l’élégance du sourire face à la gravité. Le bonheur de l’écriture éclaire chaque page de ce roman, salué par Jean-Louis Fournier avec lequel, à n’en pas douter, existe une complicité de coeur.

"L’écrivain de la famille" de Grégoire Delacourt chez JC Lattès

Un écrivain est né et nous donne son premier roman, magistral dans l’ émotion et dans l’élégance du sourire face à la gravité. Le bonheur de l’écriture éclaire chaque page de ce roman, salué par Jean-Louis Fournier avec lequel, à n’en pas douter, existe une complicité de coeur.

Découvrez cette chronique romanesque et familiale qui est à la fois une évocation du destin et de la mémoire, une vision empathique de la fragilité des êtres et des couples, une plongée dans les secrets et les silences qui font d’une vie l’inénarrable destin quotidien.

Delacourt pratique l’écriture de la simplicité, celle qui va à l’essentiel, dit le vrai, ne pontifie pas. C’est dans l’encrier du coeur que cet écrivain-là plonge sa plume.

Edmond Morrel

Dans cet entretien, Grégoire Delacourt rend hommage à Jean-Louis Fournier que nous avions rencontré à l’occasion de la parution de son roman "Où on va papa ?".

Visitez le blog de l’auteur, une présentation très originale de son roman.

Présentation sur le site de l’éditeur :

À sept ans, Edouard écrit son premier poème. Trois rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famille. Mais à neuf, il découvre le sens de « déchéance ». Les mots ne lui viennent plus.
Les années passent. Il assiste à la lente décomposition de sa famille et court toujours derrière l’amour que son poème, autrefois, suscita. Il écrit, écrit mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon. Edouard n’a pas de talent. Sauf dans la publicité où les mots futiles valent de l’or. Pas pour ce grand roman qu’il s’est juré d’écrire.
N’ayant pas su trouver les mots qu’on attendait de lui, Edouard, l’écrivain de la famille, vit dans l’échec et le dégoût de soi. Alors quand la beauté de sa mère se fane, quand son frère-oiseau meurt tragiquement, quand le cœur de sa sœur devient pierre et que son père disparaît dans ses silences, il prend la plume pour écrire l’histoire de ceux qu’il aime.
Mais surtout pour en changer la fin.

L’auteur

Né en 1960 à Valenciennes, Grégoire Delacourt est publicitaire. On lui doit ces fameux slogans : « Vous n’aviez jamais mangé de camembert » (Cœur de Lion), « Nous vous devons plus que la lumière » (EDF), « Un Lutti d’offert, c’est un Lutti de perdu » (Lutti). L’écrivain de la famille est son premier roman.

Documents joints